Gilles est consultant CVO-EUROPE depuis Janvier 2018, à l’agence de Bordeaux. Spécialiste de la qualification d’équipement, de la validation de procédés et de systèmes informatisés, et en métrologie, Gilles a développé une véritable expertise du secteur pharmaceutique et des dispositifs médicaux. Il revient sur son parcours.
Bonjour Gilles, peux-tu nous expliquer ton parcours et ton arrivée parmi les équipes de CVO-EUROPE ?
A l’origine, ma formation ne me prédisposait pas à travailler dans les sciences de la vie : j’ai passé un bac +2 en électrotechnique et en automatisme industriel, puis j’ai repris mes études en cours du soir pour passer un diplôme en ingénieur en automatique et automatisme industriel pour intégrer des postes supérieurs aux postes de technicien auxquels je pouvais prétendre.
A cette époque, je travaillais en Haute Savoie dans l’assurance qualité à Annemasse, alors que j’habitais à Annecy. Pour pouvoir me rapprocher de mon lieu d’habitation, j’ai trouvé un emploi dans Chez Cornéal, qui depuis a été rachetée par le laboratoire Allergan.
Cette expérience a pour moi été une première approche du secteur des sciences de la vie, la société étant spécialisée dans l’ophtalmologie et l’acide hyaluronique. J’ai donc travaillé en qualité, production et contrôle qualité sur l’ensemble des produits de cette société. Cette expérience m’a également permise de commencer à appréhender les métiers de la validation et de la qualification notamment dans le cadre d’une diversification vers le marché américain (qualification FDA en 2007). J’ai trouvé ensuite un poste sur Genève au sein de l’entreprise Teoxane, une société spécialisée dans le comblement de rides, et depuis début Janvier 2018 je suis chez CVO-EUROPE, à l’agence de Bordeaux.
Qu’est-ce qui a motivé ton arrivée en tant que consultant chez CVO-EUROPE ?
Je suis devenu consultant chez CVO-EUROPE car j’avais le sentiment d’avoir fait le tour de mes précédentes expériences, et je ressentais de plus en plus l’envie de travailler autrement et de transmettre mes connaissances. Je trouve justement que le métier de consultant me correspond aujourd’hui, dans cette idée et ce besoin de transmettre et de partager mon savoir et mon expérience.
La seconde raison de mon arrivée chez CVO-EUROPE est que mes enfants ont à présent quitté le domicile, et cela faisait quelques temps que je souhaitais changer de région et m’installer en région bordelaise. J’étais donc en contact depuis un moment avec Paul, Business Manager à l’agence de Bordeaux, et nous avons finalisé mon arrivée dans l’entreprise à la fin de l’année 2017.
Sur quoi as-tu travaillé depuis ton arrivée chez CVO-EUROPE ? Quelles ont été tes missions ?
J’ai démarré par une première mission de 3 mois chez un client leader en santé animale , en amont d’une qualification d’un nouvel environnement de production. Ensuite, j’ai enchainé sur une petite mission de conseil en Validation des Systèmes Informatisés chez un autre client. J’ai ensuite travaillé sur des missions de rédaction de protocoles pour deux laboratoires pharmaceutiques.
Aujourd’hui, j’interviens pour une plus longue mission chez un industriel spécialisé en pharmacie et chimie à Martillac, tout près de chez moi. Cette mission m’apporte tout ce que je souhaitais trouver chez CVO-EUROPE : de la technique, de la documentation, du conseil, et une bonne gestion de la vie pro et de la vie privée.
Le contact avec le client est vraiment très important pour moi, et cette mission m’en donne vraiment l’opportunité. Ce que je recherche en tant que consultant chez CVO-EUROPE, c’est avant tout de pouvoir transmettre mes compétences à mes clients.
J’ai le sentiment que les missions que l’on me confie m’intéressent de plus en plus, et que les équipes de CVO-EUROPE ont su répondre à mes attentes en termes de missions et d’épanouissement professionnel : j’ai notamment bénéficié d’une formation interne afin de bien pouvoir préparer ma mission chez mon client actuel.
Quel conseil donnerais-tu à un jeune consultant qui arriverait chez CVO-EUROPE ?
Mon conseil serait d’éviter le syndrome du premier jour, en évitant justement de rater cette première journée car beaucoup de choses se jouent à ce moment-là. On peut arriver sur un lieu de mission et avoir l’impression de ne pas avoir été attendu ce qui peut être frustrant, et en même temps il faut savoir être proactif pour préparer son arrivée au mieux : appeler pour savoir à quelle heure arriver, qui vous devez rencontrer, ce que l’on va attendre de vous les premiers jours etc.
Pour bien réussir une intégration, il faut être proactif et bien préparer son premier jour afin de ne pas être frustré et démarrer du bon pied !
Merci beaucoup Gilles pour ce témoignage et belle continuation dans tes missions et projets !
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